CONFERENCE SUR LA STARTUP ACT A KINSHASA
ATELIER NATIONAL DE RESTITUTION DES RESULTATS DU PROJET CLEAR COTTON
1 décembre 2022
MISSION DE SUIVI ET DE SUPERVISION DES RÉALISATIONS DU PAFPA DUAL
22 décembre 2022
Le projet PACAJEF a été représenté par son coordonnateur à la conférence sur la startup Act à Kinshasa en République Démocratique du Congo du 22 au 24 novembre. L’objectif étant d’analyser les dispositifs normatifs en faveur des startups ainsi que leur application.
La startup act est un cadre juridique adopté pour faciliter le lancement et le développement des startups en RDC. Cette disposition normative devrait permettre de résoudre les problèmes majeurs qui minent l’économie Congolaise comme la fiscalité appliquée aux entreprises naissantes, le financement des entreprises naissantes, l’accès au marché et le problème de la certification des produits locaux. Son adoption est donc un soulagement pour la jeunesse Congolaise.
L’ambassadeur des Pays-Bas en RDC a expliqué à l’ouverture de la conférence que l’adoption de la startup act n’est pas une station finale, mais plutôt la station de début. Comme pour dire qu’une chose est d’élaborer et d’adopter une disposition normative, mais une autre est surtout l’application de cette disposition. En exemple nous pouvons citer la charte des PME adoptée au Burkina Faso en 2017, mais qui reste inconnue aussi bien par les acteurs publics que les acteurs privés du pays.
Les participants burkinabè constitués des représentants de OXFAM, AJDD et du PACAJEF sont venus apprendre de l’expérience du Congo. Il ressort donc que l’application d’une disposition normative passe nécessairement par une appropriation réelle de ladite loi par les acteurs privés du pays.
La startup act est un cadre juridique adopté pour faciliter le lancement et le développement des startups en RDC. Cette disposition normative devrait permettre de résoudre les problèmes majeurs qui minent l’économie Congolaise comme la fiscalité appliquée aux entreprises naissantes, le financement des entreprises naissantes, l’accès au marché et le problème de la certification des produits locaux. Son adoption est donc un soulagement pour la jeunesse Congolaise.
L’ambassadeur des Pays-Bas en RDC a expliqué à l’ouverture de la conférence que l’adoption de la startup act n’est pas une station finale, mais plutôt la station de début. Comme pour dire qu’une chose est d’élaborer et d’adopter une disposition normative, mais une autre est surtout l’application de cette disposition. En exemple nous pouvons citer la charte des PME adoptée au Burkina Faso en 2017, mais qui reste inconnue aussi bien par les acteurs publics que les acteurs privés du pays.
Les participants burkinabè constitués des représentants de OXFAM, AJDD et du PACAJEF sont venus apprendre de l’expérience du Congo. Il ressort donc que l’application d’une disposition normative passe nécessairement par une appropriation réelle de ladite loi par les acteurs privés du pays.
